Durant
ces deux dernières années, Alain Hardy, secrétaire
général de la paroisse,a assuré avec beaucoup de
compétence, de disponibilité et d’attention bienveillante
à chacun, l’organisation de nos journées de vente
de charité paroissiales. Avant de passer la main à Anne
Dumortier et Anne d’Autichamp, il dresse ici le bilan de la vente
2008 et suggère des pistes
La
vente de charité est aussi et surtout une fête Paroissiale
permettant de rapprocher la famille des Chaillotins.
" Malgré
la morosité ambiante, notre vente de charité 2008 fut
un succès », résume Hardy. Le bénéfice
net, en augmentation de 20 % par rapport à 2007, s’élève
à 31 000 euros. Ceci est dû, parmi d’autres raisons,
au fait que nous avons réussi à diminuer les coûts
d’achats. Le dîner de gala a réuni 150 personnes.
Il faut d’ailleurs saluer ici la mémoire de Caroline Géry
qui nous a quittés en janvier dernier. Caroline a assuré
malgré sa maladie et sa fatigue, avec un courage admirable, la
responsabilité des buffets, des repas et de toute la restauration.
Quel exemple pour nous tous !
Trois
nouveaux stands avaient été créés : les
Arts de la Table, le Marché de Noël et un stand de chapeaux.
Un ancien stand, La Chaillotière, a disparu. Mais Alain précise
aussitôt : « Chaque stand, petit ou grand, a son importance.
Ils participent tous à la fête générale.
» Car il ne faut jamais oublier le but de ces journées
: « Il ne s’agit pas uniquement de récolter de l’argent,
rappelle Alain. Ces journées sont aussi et surtout une fête
paroissiale permettant de rapprocher la famille des Chaillotins. »
Une fête où les bénévoles se sont beaucoup
renouvelés depuis 5 ans. Ce qui démontre, selon Alain,
« le profond attachement des paroissiens à ces activités
et le développement du bénévolat dans notre paroisse
».
Une
« semaine de Chaillot » ?
Il reste cependant
des améliorations à apporter : « Une meilleure publicité
avec notamment une campagne d’affichage devrait être organisée.
» Une très bonne idée est d’ores et déjà
lancée pour l’avenir : « La Vente de Charité
pourrait s’inscrire dans une grande Semaine de Chaillot »,
suggère Alain. Cette semaine comprendrait une soirée conférence
donnée par une personnalité, une soirée concert
et se terminerait par une messe solennelle célébrée
par une personnalité religieuse. Mais « pour mettre en
place et animer cette Semaine de Chaillot, il faudrait créer
une équipe de bénévoles et de nouvelles bonnes
volontés devront se faire connaître », précise
Alain.
Le choix des
dates de ces journées est toujours important : « En 2008,
le mardi et le mercredi ont permis aux enfants des écoles de
venir. Ces deux jours de la semaine semblent les meilleurs pour l’avenir
» conclut Alain Hardy qui, au nom de l’équipe, formule
un dernier souhait : « Il faudrait trouver les moyens d’impliquer
davantage dans ces journées la communauté hispanophone
ainsi que les jeunes ménages de la paroisse. »
Propos
recueillis
par Odile Douroux
Ces
rencontres diocésaines ont permis aux participants – souvent
plusieurs centaines – de proposer des initiatives concernant chacun
des thèmes retenus, de faire ressortir les critères de
discernement mis en oeuvre dans la prise de décision et l’évaluation
des actions menées dans l’Eglise et, enfin, d’échanger
à partir d’idées et d’expériences récentes.
Notre archevêque proposera à l’issue des orientations
diocésaines qui auront en chaque communauté paroissiale
un retentissement adapté. D’où l’importance
pour les chrétiens réunis lors de ces assises, non seulement
d’échanger des idées ou des projets, mais encore
de se mettre en situation de les valuer, d’en mesurer la pertinence
en définissant des critères d’appréciation
au regard de la vocation missionnaire de l’Eglise. Sans discernement
pastoral la meilleure action envisagée peut se révéler
épuisante, désespérément hors de notre portée
!